Pour les francophones
Posted: Wed Apr 21, 2010 3:59 pm
This is a thread, created with Eka's permission, for French-speakers. It is not yet possible to set up a French language subforum (due primarily to a lack of potential moderators), so Eka has authorised me to set up this one thread, for people to post in French. My sincere thanks for this opportunity.
Je passe donc en français... Depuis longtemps, j'entends des francophones dire qu'il n'existe aucun site pour les vorarephiles francophones. Je pense aussi que c'est dommage. Sur ce Portail, nous avons des contributeurs actifs venant de France, de Belgique, du Québec et peut-être d'ailleurs. Voici l'occasion pour nous de discuter dans notre propre langue.
De manière tout aussi importante, voire plus, j'espère que ce thread encouragera la venue de francophones qui tapissent jusqu'ici dans l'anonymat. Si vous rencontrez des francophones autre part, vous pouvez les diriger vers cette page, qui pourra servir de point d'accueil.
Enfin, j'ai entendu plusieurs personnes dire qu'elles aimeraient écrire des histoires en français, mais ne le font pas, faute de lectorat. Ce thread servira peut-être à rapprocher les vorarephiles francophones, et à encourager les écrivains potentiels à se lancer.
= = = =
Pour commencer, chacun pourrait peut-être se présenter... Pour ma part, j'écris des histoires (seulement en anglais, à ce jour). J'avais déjà une fascination trouble à l'idée d'être mangé quand j'étais enfant. Quand je suis devenu adolescent, ça a évolué en fantasme sexuel. Je ne rêvais pas (ou presque pas) de rapports sexuels "normaux" ; je rêvais d'être avalé et digéré par de jolies femmes. En général, dans ces fantasmes, j'étais de la nourriture ordinaire. Je n'ai découvert le mot "vorarephilie" que bien plus tard, peu avant mes 26 ans. Mes fantasmes ont alors évolué un petit peu: j'étais un homme miniaturisé et avalé. Mais l'idée de base restait la même : ma "dévoreuse" ne me mangeait pas par méchanceté, mais parce qu’elle me percevait comme étant de la nourriture.
J’ai alors commencé à écrire, puisqu’il y avait maintenant des personnes qui pouvaient s’intéresser à mes histoires. J’ai créé l’idée des ‘snackaboys’ – des personnes miniaturisées, recouvertes d’une couche sucrée et vendues comme des bonbons, mangées (dans mes histoires) par des jeunes femmes qui les voient juste comme une friandise, et non comme des personnes conscientes. De cette manière, je maintiens l’idée de ‘prédatrice innocente’. J’ai aussi créé l’idée du ‘championnat de vore’, où des candidates rivalisent pour engloutir autant de volontaires miniaturisés qu’elles peuvent contenir dans leur estomac. Puis elles digèrent tranquillement. Dans mes histoires, les ‘prédatrices’ sont douces et aimables, mais elles digèrent ce qu’elles mangent. Une fois avalée, la ‘proie’ ne ressort que… euhm, après digestion. J’écris aussi beaucoup dans le monde de Felarya, créé par le dessinateur français Karbo ; j’en reparle un peu plus loin.
Bref… Pour moi, l’attrait du vore, c’est l’idée d’être mangé par une femme. De me blottir en elle, au plus profond de son estomac chaud et confortable, et d’être doucement digéré pendant qu’elle continue sa vie ordinaire (satisfaite de la sensation que lui procure cette nourriture dans son ventre). En me digérant, elle m’absorbe en elle. Je cesse d’exister, et je ne fais plus qu’un avec elle. Nous étions deux personnes séparées ; nous n’en devenons qu’une seule : elle. Elle poursuit sa propre vie (en général sans penser à moi), et je fais partie (une partie insignifiante) de son corps, de son être, de son existence. Je n’existe qu’à travers elle, passif, et je fais l’expérience de sa vie. Je n’ai plus aucun souci ; elle constitue mon univers tout entier.
Voilà en tout cas pour moi l’attrait du vore. Je sais que pour beaucoup de personnes c’est assez différent. Si vous découvrez ici la communauté pour la première fois, vous allez vous apercevoir que, si certains préfèrent être ‘proies’, d’autres s’imaginent ‘prédateurs’ ou ‘observateurs’. Certains veulent que la mangeuse soit une femme ; d’autres, que ce soit un homme. Certains n’ont pas de préférence sur le sexe du prédateur, mais en ont une concernant la proie. Certains veulent que le prédateur soit humain ; d’autres préfèrent des animaux ou des créatures légendaires. Certains veulent que le vore soit consensuel et indolore ; d’autres, contraint et violent. Et il y a plein d’autres types de préférence.
N’hésitez pas ici à parler de vos expériences et de vos préférences, et à partager aussi vos éventuels dessins ou histoires.
Pour finir, voici quelques exemples de vorarephiles francophones qui dessinent ou qui écrivent :
Karbo est un dessinateur extrêmement talentueux, qui a créé le monde de Felarya – un monde auquel contribuent aujourd’hui de nombreux artistes et dessinateurs. Felarya, c’est un univers peuplé de prédatrices géantes, mi-femmes mi-créatures, qui n’aiment rien de plus qu’avaler de succulents humains, en toute innocence. C’est aussi bien plus que ça ; c’est tout un univers fictif structuré et cohérent, très développé, avec tout un ensemble de personnages très attachants. Sa page sur le Portail est ici. Bien qu’il soit principalement dessinateur, il a écrit une histoire en anglais, ici.
(Parmi les contributeurs à Felarya, Lajule, qui a écrit un petit peu en français. Et Gwadahunter, de même.)
Frakass (dont vous trouverez la page ici) est un dessinateur, qui a lui aussi créé des mondes fascinants centrés sur le vore. Entre ses diverses elves voraces, ses nagas insatiables et ses adorables filles-avions qui transportent leurs passagers en les avalant, vous découvrirez des dessins plein d’humour et de talent.
Sarus est un écrivain, francophone mais qui écrit en anglais. Ses histoires sont excellentes ; vous les trouverez ici.
Krisexy (dont la page est ici) écrit aussi des histoires, presque toutes en anglais. Elle a aussi créé son monde, appelé Nekosia, où des femmes-chats pourchassent, taquinent et dévorent de malheureux (ou heureux) petits humains. Là aussi, des situations intéressantes et des personnages attachants.
Swallowingalive a des sites en français, dont il parle ici. Il y présente des images, entre autres de ses figurines de naga. A découvrir…
Huitcinquante écrit des histoires en français. En particulier, une histoire en cours décrivant un homme qui se retrouve miniaturisé, alors qu’il vit avec deux collocatrices : http://8cm50.hautetfort.com . Je vous encourage à le lire ; pas seulement parce que c’est une des très rares histoires écrites en français, mais pour l’intérêt de l’histoire en soi.
Enfin, si vous voulez lire mes histoires (en anglais, donc), vous les trouverez ici.
J’ai dû oublier des gens, et je leur demande pardon par avance.
Voilà… Bienvenue, donc, sur la (petite) partie francophone du Portail.
Je passe donc en français... Depuis longtemps, j'entends des francophones dire qu'il n'existe aucun site pour les vorarephiles francophones. Je pense aussi que c'est dommage. Sur ce Portail, nous avons des contributeurs actifs venant de France, de Belgique, du Québec et peut-être d'ailleurs. Voici l'occasion pour nous de discuter dans notre propre langue.
De manière tout aussi importante, voire plus, j'espère que ce thread encouragera la venue de francophones qui tapissent jusqu'ici dans l'anonymat. Si vous rencontrez des francophones autre part, vous pouvez les diriger vers cette page, qui pourra servir de point d'accueil.
Enfin, j'ai entendu plusieurs personnes dire qu'elles aimeraient écrire des histoires en français, mais ne le font pas, faute de lectorat. Ce thread servira peut-être à rapprocher les vorarephiles francophones, et à encourager les écrivains potentiels à se lancer.
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Pour commencer, chacun pourrait peut-être se présenter... Pour ma part, j'écris des histoires (seulement en anglais, à ce jour). J'avais déjà une fascination trouble à l'idée d'être mangé quand j'étais enfant. Quand je suis devenu adolescent, ça a évolué en fantasme sexuel. Je ne rêvais pas (ou presque pas) de rapports sexuels "normaux" ; je rêvais d'être avalé et digéré par de jolies femmes. En général, dans ces fantasmes, j'étais de la nourriture ordinaire. Je n'ai découvert le mot "vorarephilie" que bien plus tard, peu avant mes 26 ans. Mes fantasmes ont alors évolué un petit peu: j'étais un homme miniaturisé et avalé. Mais l'idée de base restait la même : ma "dévoreuse" ne me mangeait pas par méchanceté, mais parce qu’elle me percevait comme étant de la nourriture.
J’ai alors commencé à écrire, puisqu’il y avait maintenant des personnes qui pouvaient s’intéresser à mes histoires. J’ai créé l’idée des ‘snackaboys’ – des personnes miniaturisées, recouvertes d’une couche sucrée et vendues comme des bonbons, mangées (dans mes histoires) par des jeunes femmes qui les voient juste comme une friandise, et non comme des personnes conscientes. De cette manière, je maintiens l’idée de ‘prédatrice innocente’. J’ai aussi créé l’idée du ‘championnat de vore’, où des candidates rivalisent pour engloutir autant de volontaires miniaturisés qu’elles peuvent contenir dans leur estomac. Puis elles digèrent tranquillement. Dans mes histoires, les ‘prédatrices’ sont douces et aimables, mais elles digèrent ce qu’elles mangent. Une fois avalée, la ‘proie’ ne ressort que… euhm, après digestion. J’écris aussi beaucoup dans le monde de Felarya, créé par le dessinateur français Karbo ; j’en reparle un peu plus loin.
Bref… Pour moi, l’attrait du vore, c’est l’idée d’être mangé par une femme. De me blottir en elle, au plus profond de son estomac chaud et confortable, et d’être doucement digéré pendant qu’elle continue sa vie ordinaire (satisfaite de la sensation que lui procure cette nourriture dans son ventre). En me digérant, elle m’absorbe en elle. Je cesse d’exister, et je ne fais plus qu’un avec elle. Nous étions deux personnes séparées ; nous n’en devenons qu’une seule : elle. Elle poursuit sa propre vie (en général sans penser à moi), et je fais partie (une partie insignifiante) de son corps, de son être, de son existence. Je n’existe qu’à travers elle, passif, et je fais l’expérience de sa vie. Je n’ai plus aucun souci ; elle constitue mon univers tout entier.
Voilà en tout cas pour moi l’attrait du vore. Je sais que pour beaucoup de personnes c’est assez différent. Si vous découvrez ici la communauté pour la première fois, vous allez vous apercevoir que, si certains préfèrent être ‘proies’, d’autres s’imaginent ‘prédateurs’ ou ‘observateurs’. Certains veulent que la mangeuse soit une femme ; d’autres, que ce soit un homme. Certains n’ont pas de préférence sur le sexe du prédateur, mais en ont une concernant la proie. Certains veulent que le prédateur soit humain ; d’autres préfèrent des animaux ou des créatures légendaires. Certains veulent que le vore soit consensuel et indolore ; d’autres, contraint et violent. Et il y a plein d’autres types de préférence.
N’hésitez pas ici à parler de vos expériences et de vos préférences, et à partager aussi vos éventuels dessins ou histoires.
Pour finir, voici quelques exemples de vorarephiles francophones qui dessinent ou qui écrivent :
Karbo est un dessinateur extrêmement talentueux, qui a créé le monde de Felarya – un monde auquel contribuent aujourd’hui de nombreux artistes et dessinateurs. Felarya, c’est un univers peuplé de prédatrices géantes, mi-femmes mi-créatures, qui n’aiment rien de plus qu’avaler de succulents humains, en toute innocence. C’est aussi bien plus que ça ; c’est tout un univers fictif structuré et cohérent, très développé, avec tout un ensemble de personnages très attachants. Sa page sur le Portail est ici. Bien qu’il soit principalement dessinateur, il a écrit une histoire en anglais, ici.
(Parmi les contributeurs à Felarya, Lajule, qui a écrit un petit peu en français. Et Gwadahunter, de même.)
Frakass (dont vous trouverez la page ici) est un dessinateur, qui a lui aussi créé des mondes fascinants centrés sur le vore. Entre ses diverses elves voraces, ses nagas insatiables et ses adorables filles-avions qui transportent leurs passagers en les avalant, vous découvrirez des dessins plein d’humour et de talent.
Sarus est un écrivain, francophone mais qui écrit en anglais. Ses histoires sont excellentes ; vous les trouverez ici.
Krisexy (dont la page est ici) écrit aussi des histoires, presque toutes en anglais. Elle a aussi créé son monde, appelé Nekosia, où des femmes-chats pourchassent, taquinent et dévorent de malheureux (ou heureux) petits humains. Là aussi, des situations intéressantes et des personnages attachants.
Swallowingalive a des sites en français, dont il parle ici. Il y présente des images, entre autres de ses figurines de naga. A découvrir…
Huitcinquante écrit des histoires en français. En particulier, une histoire en cours décrivant un homme qui se retrouve miniaturisé, alors qu’il vit avec deux collocatrices : http://8cm50.hautetfort.com . Je vous encourage à le lire ; pas seulement parce que c’est une des très rares histoires écrites en français, mais pour l’intérêt de l’histoire en soi.
Enfin, si vous voulez lire mes histoires (en anglais, donc), vous les trouverez ici.
J’ai dû oublier des gens, et je leur demande pardon par avance.
Voilà… Bienvenue, donc, sur la (petite) partie francophone du Portail.